Mon âme éprise
Jusqu’au bas de son assise
ton parfum la grise
Au-delà de tout serment
Du regard de tes yeux
Naissent mes aveux
Le délire de mes vœux
Dans le trouble du moment
Te boire en coupe pleine
Où mourir sur tes plaines
Couvert de ta chevelure d’ ébène
Paradis du cœur amant
Pauvre esprit qui se blesse
Dès que ton rire le délaisse
Sa tristesse ne cesse
D ‘agrandir ses tourments
Le ciel est si beau
Quand sereine est ton eau
J ‘entends ton chant haut
Réveiller mes sarments
Je t’aime plus et encore
Au cours des jours au fil du sort
Qui tisse au gré et à tort
La trame de notre roman
Vous retrouverez dans la revue n°2 du Jardin des Poèmes Mebkhout avec 10 poèmes ainsi que d’autres auteurs.