Il rénove tout votre métabolisme quelque soit votre âge.
D’un seul coup vous sentez que quelque chose se passe dans vos veines, vos extrémités, votre sang afflue à nouveau.
Il a toujours été dit que nous n’avons que l’âge que notre cœur veut bien se donner.
Quand nous sentons que nous sommes importants aux yeux d’un être cher, que le manque de l’Autre se fait sentir, quand les jambes défaillent à l’idée de le revoir, s’il n’est pas avec vous, un seul sourire, le seul son de sa voix, son humour jamais caustique, sa douceur en toutes circonstances, son intéressement à ce qui vous importe, sa mémoire quant aux détails de tout ce que vous aimez, le savoir heureux quand vous êtes enthousiaste, même s’il n’en a aucun usufruit……. juste pour aimer… savoir aimer sans jalouser :
quel bonheur absolu !
Et savoir qu’au fond de notre cœur, nous avons la même fougue prête à exulter pour Lui, la même générosité exsangue de tout calcul
l’Un vis à vis de l’Autre : tout donner et ne jamais rien reprendre.
Pour moi cela s’appelle le bonheur !
Nous endormir ici ou là… mais ensemble sans penser à rien, simplement être bien, au point de dormir et avoir la joie de nous réveiller ainsi réunis avec « un petit ventouli » sur nos cous dénudés.
La tendresse du temps en harmonie avec celle de nos cœurs.
Ne pas nous occuper du temps dehors, somme toute éphémère, ni du temps qui passe.
Nous relaxer rien qu’en regardant la teneur de nos sentiments dans la candeur des yeux de l’Autre. Être le psyché l’Un de l’Autre.
Trempés de bonheur sont nos mirettes d’avoir tant attendu ce moment privilégié !
Avoir naturellement l’envie de toujours faire plaisir à l’Autre, ne plus avoir besoin de parler pour savoir ce que l’Autre pense, ressent :
Le miracle de l’amour…
Savoir créer dans nos palpitants un ailleurs, forcément meilleur puisqu’il est dans notre monde, celui des amoureux.
Ne pas trop penser au lendemain, ne pas l’appréhender mais en être friand si c’est avec notre « Nous Deux » !
Savoir que nous n’en perdrons pas une miette, car les années passent et sont en concurrence avec le temps non calculé et brisé à ne pas avoir vécu aussi bien…. ensemble..